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Oui, le coronavirus est bien pire que vous ne le pensez

                               
Oui, le coronavirus est bien pire que vous ne le pensez
Le Coronavirus est le sujet chaud du moment et la difficulté de se faire un avis sur la question réside dans la diversité des opinions partagées. Afin de vous aider à faire le tri dans ce flot informatif et à retenir l’essentiel, voici l’avis de l’expert Samuel Paul Veissière, anthropologue interdisciplinaire et scientifique cognitif. Dans son article publié sur Psychology Today, il explique les dangers de la psychose générée par l’ampleur perçue de cette épidémie et incite à lutter contre l’irrationalité du jugement et des préjugés.
En effet, face à la panique générale suscitée par l’actualité du Coronavirus, Samuel Paul Veissière explique que les chances de décéder du coronavirus sont très faibles quand vous ne souffrez à l’origine d’aucune complication de santé et que vous n’êtes ni très vieux ni bien jeune. Pourtant, les mesures de quarantaine ne cessent d’augmenter, les festivals et autres regroupements publics sont annulés et les commerces ferment sous la crainte du risque de contamination dans les régions atteintes. Comment expliquer cette frénésie de panique face à ce fléau ? N’y aurait-il pas une partie à blâmer face à l’affolement constaté (la pénurie des masques médicaux par exemple dont la vente a explosé). Les médias n’ont en effet cesse d’amplifier outre mesure ce qui est censé être plus au moins aussi grave qu’une grippe modérée !

Paul Veissière explique que les chances de mourir du coronavirus seraient les mêmes que celles de se noyer ou d’être frappé par la foudre au long de sa vie. Pour étayer ses propos, il présente quelques chiffres afin de se faire une idée claire de la propension des choses : Les personnes atteintes du Coronavirus ne représenteraient comme pourcentage que le 0,0001% de la population mondiale.


Les titres alarmants des journaux indiquent donc surtout l’impact psychologique de cette épidémie sur la population, générant ce qu’il dénomme « une panique morale ». De cela résulterait un dressage de scénario assez sombre qui altérerait les perceptions et peindrait tout en noir. Faisant se redresser le poil face à tous les signaux visuels et auditifs impliquant un risque de transmission d’agents pathogènes.


Le docteur en philosophie Samuel Veissière explique : « Par ce récit, COVID-19 se révèle être un adversaire évolutionnaire remarquablement intelligent. En exploitant les vulnérabilités de la psychologie humaine élevées sélectivement par ses ancêtres pathogènes, il a déjà fermé bon nombre de nos écoles, écrasé notre bourse, augmenté les conflits sociaux et la xénophobie, remanié nos schémas de migration et s’efforce de nous contenir dans des espaces homogènes où il se trouve. Nous devons nous arrêter pour remarquer que COVID-19 est extraordinairement efficace sur le plan épidémiologique, précisément parce qu’il n’est pas extrêmement meurtrier »
                               
Clarifications du Dr Gérald Kierzek sur le Coronavirus
En concordance avec les propos du Dr Veissière, le médecin urgentiste français et chroniqueur médical Gérald Kierzekatteste que la réaction de peur en réponse au Coronavirus est exagérée. Il urge à relativiser dans cette ambiance d’angoissequi se propage plus vite que le virus en question. Les mesures de prévention existent et à moins d’avoir les défenses immunitaires défaillantes, le risque de contracter la maladie reste tout de même assez faible.

Il déclare : « Ce n’est pas la peste. Depuis le début, on est sur un ‘virus de la peur’, un ‘mystérieux virus chinois’, etc. Or, le fait qu’on ne retrouve pas le patient zéro et qu’il n’ait pas de symptômes, c’est plutôt une bonne nouvelle qui doit rassurer les gens. 98% des personnes qui ont attrapé le coronavirus sont guéris. Il faut relativiser les choses. » conclut le médecin.